La VMC double flux s’impose comme un équipement central pour une maison moderne, alliant confort, économies d’énergie et respect des normes. Face à des exigences croissantes en matière d’efficacité énergétique et de qualité de l’air, ce dispositif séduit de plus en plus de particuliers en 2025.
L’installation, cependant, engendre des problématiques techniques et budgétaires non négligeables.
Dès les premières étapes du projet, il faut anticiper les coûts et vérifier les conditions d’éligibilité aux différentes aides.
La réglementation impose souvent la réalisation des travaux par un professionnel reconnu (RGE) pour garantir la sécurité et la performance de la ventilation.
En 2025, le coût global d’une VMC double flux varie entre 4 000 et 8 000 € (pose incluse) selon le modèle, la surface du logement et la complexité du chantier.
On distingue généralement :
1 800 € à 3 500 € hors pose pour les modèles standards.
Jusqu’à 15 000 € pour les appareils thermodynamiques ou les chantiers complexes (rénovation lourde, maison à plusieurs niveaux).
La rénovation coûte souvent plus cher que le neuf, car elle implique des travaux annexes pour réaliser le réseau de gaines et installer l’échangeur thermique.
Le choix du professionnel et la qualité des équipements impactent fortement la dépense finale.
Il faut également prévoir l’entretien annuel (environ 245 €) pour maintenir les performances.
La VMC double flux apporte jusqu’à 90 % de récupération de chaleur sur l’air extrait, générant des économies de chauffage de 15 à 20 % chaque année.
Elle assure une meilleure qualité de l’air intérieur grâce à la filtration, tout en stabilisant la température et en réduisant les nuisances sonores.
En France, l’installation répond à la norme DTU 68.3, qui régit le dimensionnement, la mise en œuvre et l’entretien de la ventilation.
La RT2012 impose aussi une ventilation performante pour respecter la consommation énergétique maximale des logements neufs (50 kWhEP/m²/an).
Une installation non conforme expose à des risques de dysfonctionnement et de non-éligibilité aux aides.
Plusieurs dispositifs permettent de réduire la facture d’installation d’une VMC double flux :
MaPrimeRénov’ : jusqu’à 2 500 € pour les foyers très modestes, 2 000 € pour les foyers modestes, et 1 500 € pour les intermédiaires.
Prime énergie/CEE : complément à MaPrimeRénov’, distribué par certains fournisseurs.
Éco-prêt à taux zéro et TVA réduite à 5,5 % sur la pose et le matériel.
Aides locales ou régionales selon votre commune.
Ces montants sont calculés selon le revenu fiscal de référence, le type de logement et les équipements sélectionnés.
La condition principale reste de faire intervenir un installateur RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) pour que le dossier soit accepté.
La pose d’une VMC double flux nécessite un savoir-faire spécifique : étude sur-mesure, respect strict des normes DTU, choix des matériaux, réseau de gaines performant et raccordements électriques fiables.
Un installateur RGE garantit :
Conformité du projet aux exigences légales (procès-verbal à la remise).
Sécurité et performance énergétique maximales.
Accès aux subventions et aides publiques.
Entretien régulier, indispensable pour la longévité du système.
Les professionnels expérimentés disposent d’outils de simulation pour estimer le coût final et les aides auxquelles le projet peut prétendre.
N’hésitez pas à comparer plusieurs devis et à vérifier les références du prestataire.
Le budget d’une VMC double flux dépend de nombreux facteurs : taille de la maison, choix du modèle, complexité des travaux, qualité de l’installation et montant des aides mobilisées.
Cette prestation implique de faire appel à un installateur certifié, indispensable pour bénéficier de toutes les garanties et aides financières.
Grâce à notre simulateur, obtenez rapidement une estimation personnalisée et accédez à notre réseau de professionnels RGE pour une installation sereine et conforme aux normes.
Ne laissez pas votre projet au hasard : profitez de l’expertise de nos partenaires pour une VMC double flux durable, performante et aidée.
Fourchette de prix : 4 000 à 8 000 €, jusqu’à 15 000 € en rénovation lourde.
Aides principales : MaPrimeRénov’, CEE, éco-prêt, TVA réduite.
Normes obligatoires : DTU 68.3, RT2012, installateur RGE.
Économies d’énergie : jusqu’à 20 % sur le chauffage.
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